Le stress est une réponse immédiate face à une situation perçue par notre cerveau comme un danger (selon nos propres perceptions : distribution des sujets d’examens, entretien d’embauche, prise de parole en public, etc) : il monte très rapidement pour nous permettre de mobiliser nos ressources afin d’ affronter la situation stressante.
Le stress est vécu dans l’instant présent, et disparaît lorsque disparaît ce qui l’a provoqué.
L’anxiété est un sentiment d’ inquiétude permanent : il s’agit de l’anticipation de menaces éventuelles (qui peuvent être injustifiées et non raisonnables).
Elle est donc davantage en lien avec un événement futur.
Elle s’accompagne d’un sentiment d’appréhension, de nervosité, de pensées obsessionnelles, d’un sentiment d’impuissance et d’insécurité.
Le stress et l’anxiété sont mal différenciés car ils prennent leurs racines dans la peur et sont dirigés par une fonction instinctive de survie. De plus, les symptômes sont souvent similaires : palpitations, respiration difficile, tensions musculaires, vertiges, nausées, sueurs, maux de ventre, en sont des exemples.
Il est important de pouvoir comprendre et identifier ces deux états pour y faire face.
Pratiquer la sophrologie permet de prendre du recul et de lâcher prise.
Vous évacuez vos tensions physiques et mentales.
Par le biais des techniques de visualisations, vous renforcez vos capacités et vous vous projetez de manière positive.
Attention! La sophrologie ne pose pas de diagnostic et ne remplace pas un traitement médicamenteux ou un suivi psychologique.
Photo: Nathan Cowley
Un enfant vit les émotions avec beaucoup plus d’intensité qu’un adulte : face à la frustration, à la peur, à la difficulté, on ne peut exiger de l’enfant qu’il réagisse comme un adulte, relativise une situation et prenne le recul suffisant.
Chez le petit enfant, c’est le cerveau archaïque et le cerveau émotionnel qui dominent, et c’est vers 6/7 ans que la partie du cortex qui contrôle les émotions 