Une situation familiale difficile peut avoir des retentissements importants sur un enfant.
On utilise d’ailleurs l’image d’ « éponge à émotions ».
Un contexte imprégné de stress, de tensions, de disputes, va retentir sur l’enfant et son comportement.
En sophrologie, on ne cherche pas à analyser la cause sous-jacente, l’origine de la problématique familiale : on part du constat d’une difficulté présente pour l’enfant, et on cherche à connaître ses besoins pour la surmonter, telle qu’elle est.
Il est important de garder à l’esprit que le sophrologue porte un regard bienveillant et sans jugement.
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Image: Vika Glitter
devant un agent stressant (suivant notre perception) , une petite partie de notre cerveau envoie des messagers dans notre organisme, qui vont engendrer la sécrétion d’hormones : on les appelle communément « hormones du stress » : Il s’agit de l’adrénaline et du cortisol.
L’adrénaline, rapide et puissante, stimule les battements du coeur, la respiration et la circulation sanguine vers les muscles pour nous permettre de combattre ou de fuir la situation menaçante.
Le stress n’est pas néfaste s’il est ponctuel. On parle même de « bon stress ».
En revanche, c’est quand il devient trop fréquent, voire chronique, qu’il peut se manifester par des signes physiques et psychiques.
L’alimentation, le sport, le sommeil ont des effets sur la production des hormones du stress. Prendre soin de soi, se détendre, positiver sont également essentiels.
En pratiquant la sophrologie, nous diminuons notre stress, nous mobilisons notre corps et notre cerveau de manière positive et activons la production des hormones de bien-être.
Mâchoire crispée, gorge serrée, intestins noués, maux de dos…. ça vous parle ?
Un enfant vit les émotions avec beaucoup plus d’intensité qu’un adulte : face à la frustration, à la peur, à la difficulté, on ne peut exiger de l’enfant qu’il réagisse comme un adulte, relativise une situation et prenne le recul suffisant.
Chez le petit enfant, c’est le cerveau archaïque et le cerveau émotionnel qui dominent, et c’est vers 6/7 ans que la partie du cortex qui contrôle les émotions 